« Je passe de la peinture sur bois au travail textile par nécessité. Comme s’il fallait briser le processus et laisser les formes, le relief, les couleurs murir avant de revenir dessus. Cela peut prendre des mois, des années avant que je parvienne à ouvrir une nouvelle porte. Quel que soit le support, il s’agit d’emprunter un long chemin, sans objectif mais une constante recherche »